jeudi 28 juillet 2011
PDF français pour l'atelier d'Ysolda "Le Pull Parfait"
Maria
lundi 25 juillet 2011
DroitlibreTV : Bientôt en ligne
Quelques jours après la 7è édition du festival Ciné Droit Libre, ça chauffe encore dans les startingblocs de l’association Semfilms. Entre rapports, lettres de remerciement et répit, l’équipe de Semfilms a le nec le plus ultra de ses énergies et compétences concentrées sur les préparatifs du lancement prochain de sa télévision sur le web, DroitlibreTV.
Loin d’être une chaîne de télé traditionnelle ou un simple site web, DroitlibreTV est une télé qui diffuse ses productions uniquement sur le web. Les téléspectateurs suivent librement les reportages et autres émissions sur l’écran de leurs ordinateurs. Axé sur les droits humains et la liberté d’expression, DroitlibreTV travaille sur une diversité de thèmes qui ont tous un lien avec les droits humains : dénoncer des violations, faire la promotion des droits humains, de la femme et de la jeune fille, des minorités et des faibles ; le tout dans un ton direct et libre d’expression, sans tabous ni parti pris.
Chaîne de jeunes avec un personnel jeune, un style jeune et axé surtout sur un public jeune, DroitLibreTV est pilotée à partir du Burkina Faso mais alimentée avec des images de la sous-région ouest africaine. Pour ses débuts, une attention particulière sera donnée à quatre pays à savoir le Sénégal, le Mali, la Côte- d’Ivoire et le Burkina Faso. Mais c’est en fait une télé sans frontières où tout internaute connecté peut y avoir accès. Rendez- vous est pris pour octobre 2011 pour vivre avec vous une nouvelle aventure de la promotion des droits humains et de la liberté d’expression.
K. Gabriel Kambou
Semfilms
vendredi 22 juillet 2011
L’AJBC menace de mater des étudiants
Il nous est revenu que l’AJBC (l’Association des jeunes pour Blaise Compaoré) en collaboration avec certains responsables politiques proches du CDP préparerait une action de représailles contre les étudiants qui avaient fait capoter la cérémonie de récompense de l’homme de la paix 2010 de ladite association. En rappel, les étudiants de la cité chinoise reprochaient à l’AJBC d’avoir abusé de leur confiance en prétextant organiser une cérémonie pour récompenser les cinéastes qui ont présenté des œuvres au festival Ciné Droit Libre 2011. Mais sur place les étudiants se sont rendu compte de la supercherie de l’AJBC.
Le président de l’AJBC a reconnu cette forfaiture et les étudiants ont demandé à être dédommagé pour leur déplacement. C’est donc après ce dédommagement que certains étudiants auraient été identifiés par l’AJBC qui préparerait en ce moment des opérations de représailles contre les étudiants. Ces étudiants qui ont eu vent de ces manœuvres malsaines ont approché l’association Semfilms, organisatrice du festival Ciné Droit Libre dont la notoriété et la crédibilité avaient été exploité par les responsables de l’AJBC à des fins de propagande politique et d’abus de confiance de la jeunesse estudiantine.
L’association Semfilms met en garde les responsables de l’AJBC et tout autre responsable politique contre toutes représailles à l’égard des étudiants. Semfilms maintient d’ailleurs sa volonté d’ester l’AJBC en justice pour abus de confiance et détournement d’objectifs.
mercredi 20 juillet 2011
Retour en images sur le Pink Week-end
Arabie Saoudite: Les femmes n’ont pas le droit de conduire
En Arabie Saoudite, les femmes n’ont toujours pas le droit de prendre le volant d’une voiture. Le quotidien Okaz rapporte ce 20 juillet qu’une Saoudienne arrêtée au volant de sa voiture en dépit de l'interdiction de conduire imposées aux femmes dans le royaume va être déférée devant la justice. Selon ce journal, la femme âgée de 35 ans a été arrêtée à Jeddah (ouest) puis remise en liberté grâce à son père qui s’est porté garant d'elle. La jeune femme affirme avoir pris le volant car elle avait eu une hémorragie et n'avait pas d'autre moyen de se rendre à l'hôpital, "en l'absence de transports publics" et parce qu'elle ne disposait pas de chauffeur, selon le quotidien Okaz.
L'Arabie saoudite reste le seul pays au monde où les femmes n'ont pas le droit de conduire. Le 17 juin dernier, un groupe d'activistes a lancé sur les réseaux sociaux une campagne baptisée Women2drive dans le but de braver cette interdiction. Elles étaient au total 42 femmes à avoir répondu à l'appel. Depuis lors, des femmes prennent régulièrement le volant dans le royaume. L'icône de la campagne Women2drive est Manal al-Charif, une informaticienne de 32 ans libérée le 30 mai après deux semaines de détention pour avoir mis sur YouTube une vidéo la montrant au volant.
Les autorités saoudiennes se basent sur un édit religieux promulgué pour maintenir l'interdiction aux femmes de conduire et invoquent l'opposition des puissants religieux et des milieux conservateurs. Des animatrices de la campagne pour le droit des femmes de conduire affirment avoir reçu le soutien de Catherine Ashton, chef de la diplomatie de l'Union européenne.
La semaine dernière, deux Omanaises ont été arrêtées alors qu'elles conduisaient dans l'ouest du royaume saoudien. Elles avaient dû signer un engagement à ne pas récidiver. En fin juin à Jeddah, elles étaient cinq femmes à être arrêtées au volant de leurs voitures. Les femmes doivent engager un chauffeur ou, si elles n'en ont pas les moyens, dépendre du bon vouloir des membres masculins de leur famille. Elles sont en outre obligées de sortir voilées et ne peuvent voyager sans escorte de leur mari ou d'un homme de leur famille.
Ciné Droit Libre soutient la campagne Women2drive et appelle à la libération de toutes les femmes détenues pour avoir exercé leur droit de conduire.
K. Gabriel Kambou
Semfilms
dimanche 17 juillet 2011
une nuit à Châteaux secrets
Pour passer une nuit dans une des cabanes, réservation par mail à diepfestival@gmail.com, par téléphone au 06 69 03 31 61, ou bien directement sur place auprès des médiateurs.
5€ la nuit (nous fournissons les matelas, amenez vos duvets et lampes de poche !)
- Villa Parmentier par Florence Doléac & David de Tscharner
une canadienne pour pique-niquer et dormir à l'abri des éclairs
- Deuxième étage avec vue par Neil Béloufa & Camille Blatrix, Jon Binet, Dorian Gaudin et Edouard Montassut
un ascenseur pour aller décrocher la lune
- Le Chant du Météore par Eli Serres & Antoine Monnet
un belvédère bunker pour chasseur de météorites
- LF box par Marti Folio & Eric Pascal Legris
une cabane minimale chic, pour recevoir dehors ou dedans
- Pavillon mon rêve par Louidgi Beltrame & Elfi Turpin
hammacs avec vue pour la sieste ou pour la nuit
- Maraboudane par Andrea Crews
une tente foyer pour les rencontres et le partage
jeudi 14 juillet 2011
Le festival est fini... mais pas oublié !
J'espère que ce festival a été un lieu de rencontres et d'apprentissages et que vous êtes repartis avec la tête plein de rêves et d'effluves de laine, si ce n'est les valises lourdes !!!
Pour ma part j'ai eu du mal à fermer mon sac... même pas honte !
Repassez sur le blog d'ici peu de temps afin de voir l'album photo collectif et un petit compte rendu pour ceux qui n'ont pas pu venir / ont oublié de prendre des photos / n'ont pas réussi à tout parcourir en un week end !
Et encore un grand MERCI !!!!
What an adventure! Thank you for coming and thank you for your help - you helped make this festival an unforgettable weekend. We could not have done it without your moral support and encouragement.
I hope that this festival was a place for meeting new friends and learning and that you left with your head full of dreams and woolly smells, perhaps even heavy bags!
For my part I had trouble closing my bag ... I'm not even going to try and hide it !
Check in on the blog in a short while to see the collective photo album and a small report of the week end for those who could not make it / forgot to take pictures / didn't see everything during the weekend!
And once again a big THANK YOU!!
L'équipe le Lot et la Laine / The Lot et la Laine team,
Myrtille, Anne et Maria
Bilan de la fréquentation de Damada
mercredi 13 juillet 2011
La cinéaste iranienne Mahnaz Mohammadi emprisonnée
La cinéaste Mahnaz Mohammadi a été arrêtée à Téhéran le dimanche 26 juin dernier suite à une perquisition de son domicile par les forces de l'ordre iraniennes. Cette terrible nouvelle vient nous rappeller que dans certains pays, faire du cinéma est avant tout un combat. Pour le moment aucune information n'a été transmise sur les faits reprochés à Mahnaz Mohammadi. Cela fait plusieurs années que les autorités politiques de son pays font tout pour la faire taire : confiscation de son matériel ou encore de son passeport récemment.
Concernant ses déboires, Mahnaz Mohammadi déclarait ceci : « Je suis une femme, je suis une cinéaste, deux raisons suffisantes pour être coupable dans ce pays. Actuellement, je réalise un nouveau documentaire sur les femmes de mon pays. Le combat des femmes pour leur identité est un élément incontournable de leur vie de tous les jours... et la liberté est le mot qui manque le plus à leur quotidien… » Mahnaz Mohammadi, connue pour son activisme et son engagement auprès des droits des femmes, est la réalisatrice de Femmes sans ombres ou de Travelogue.
Rappelons que Jafar Panahi, un autre cinéaste iranien réputé pour Le Cercle et Hors jeu, est lui aussi incarcéré depuis le mois de décembre 2010. Il devra passer six ans en prison et il lui est interdit de quitter son pays et de réaliser un long-métrage durant les vingt prochaines années.
Ciné Droit Libre est solidaire de ces combattants iraniens de la liberté et des droits. Il appelle à leur libération immédiate et sans condition, avec le rétablissement de tous leurs droits.
K. Gabriel Kambou
Semfilms
Bilan financier de Damada
Le bilan financier se résume à deux chiffres, celui des dépenses et celui des recettes. Mais ce dont ont parle le plus souvent c'est seulement de la différence entre le deux! Sur le graphique, la colonne de gauche indique les sommes en euros, les recettes propres sont figurées en bleu foncé (inscriptions, entrées, repas, buvette, etc.); au second plan, les dépenses sont en rouge, elles dépassent légèrement les recettes propres; au troisième plan, les recettes complémentaires (subventions, aides...). Voici ce que cela donne :
D'ailleurs l'auto-financement est-il le but de Damada?
Non, le but est de mettre en place les éléments utiles à une transmission juste des formes traditionnelles, tant en danse qu'en musique, et tout ce qui peut favoriser l'émergence de formes inspirées par les celles-la. Comme tout enseignement, ceci a un coût, et aussi une dimension de service public qui justifie qu'on fasse appel à des aides, publiques et privées.
La transmission des formes traditionnelles est un enjeu artistique et culturel majeur, car les conditions "naturelles" de cette transmissions n'existent plus. La vocation de Damada est, dans une ambiance chaleureuse et heureuse, de contribuer à la vie de ces formes qui nous réunissent.
mardi 12 juillet 2011
"DAMADA COUACS" et nos engagements pour la suite
- - Nous nous sommes laissés déborder à l'entrée, principalement à cause de la lourdeur administrative des carnets à souche que nous devions remplir, principalement le vendredi : une queue beaucoup trop longue! Pour l'an prochain une nouvelle gestion associative nous dispensera des formulaires très compliqués, et nous prévoirons plus de monde le vendredi.
- - La disposition des lieux : parquets trop rapprochés derrière La Longère, cour de La Longère sous utilisée, qui paraissait déserte à beaucoup de moments, ce qui faisait une impression assez étrange. Sauf le samedi fin d'après-midi où cela a bien fonctionné, ce nouvel espace n'a pas été apprécié. De plus les parquets ont été jugés trop petits. Tout cela sera pris en compte et corrigé.
- - Un vrai concert de "couacs" au stand "frites" : service interrompu en cours de soirée, frites pas cuites, frites trop cuites... sans parler du gâchis de l'huile jetée dès le samedi matin après trois tournées le vendredi soir... un vrai désastre... pardon à tous ceux qui ont eu à en subir les conséquences... naturellement ce problème est résolu.
- - Un mauvais choix fait au départ, de donner les repas à un trop grand nombre (bénévoles et intervenants), a fait que, pour essayer d'équilibrer ce poste, le prix des repas était trop élevé pour ce qui était servi. Sauf la viande et le pain qui étaient de très bonne qualité, et ont été appréciés, le reste mérite d'être amélioré. L'équipe de restauration a beaucoup travaillé, et en est sorti bien épuisée, mais elle ne pouvait pas faire de miracle : ce qui ne va pas c'est que nous vendions à peine un repas sur deux qui étaient distribués. Une solution plus juste sera trouvée.
dimanche 10 juillet 2011
Festival 3ème édition 2011: le programme
SAMEDI 10 SEPTEMBRE 2011
15H : DRACULA WALTZ Durée : 1h20
Clowns Création collective Par les Nez Nets et Compagnie (Marguerittes - 30)
De et avec : Nathalie Marchal et Jean-Luc Grangier
Mise en scène : Jean-Noël Namboutin
Avec : Patricia Hay, Maria Rampelt, Adeline Savouillan
C'est l'histoire d'une nana qui aimerait rencontrer le mec idéal: intelligent, sensuel, viril, toujours amoureux, qui sache se faire tout petit quand elle en a envie, bref un homme, un seul, pour la vie.
Elle le trouve, laisse tout tomber pour lui.
Et les jours, les mois, les années passent jusqu'à cette fabuleuse découverte: son mec la trompe depuis, depuis... Elle le quitte, et, après avoir touché le fond de la misère sentimentale, se transforme en Bimbo, femme multiple d'hommes variés et inattendus. Mais le coeur n'y trouve pas son compte. Qu'adviendra-t-il ?
DIMANCHE 11 SEPTEMBRE
15 H : LA MASTICATION DES MORTS Durée : 1h25
de Patrick Kermann par La Compagnie La Cordée (Fayence - 83)
Mise en scène : Yves Guillerault
Avec : Gabrielle Anteunis, Issiaka Diarra, Corine Guillerault, Yves Guillerault, Brigitte Soirat, Isabelle Toche, Michel Toche
Et si les morts prenaient la parole ? Sous les tombes du cimetière de Moret-sur-Raguse, les défunts se refusent au silence. Jeunes et moins jeunes ruminent leurs joies, leurs amours, leurs rancoeurs, leurs regrets, leurs tragédies et leurs obsessions parfois peu avouables, souvent drôles... évidemment et heureusement ! Etonnante narration d’une communauté où la singularité de chacun fait résonner en nous ces vivants d’un autre monde. Un monde proche du nôtre, celui de la vie, bien sûr !
Ce spectacle a remporté de nombreuses récompenses dont le premier prix, le prix du public et le prix d'Interprétation Féminine au Festival Festhea Paca en avril 2010, ainsi que la Gélatine d'Or (Prix des Techniciens) et le Prix d'Interprétation Féminine (collectivement) au festival Festhea de Joué-Les-Tours en octobre 2010.
Déconseillé aux moins de 12 ans
18 H : STRATEGIE POUR DEUX JAMBONS Durée : 1h
« Stratégie pour deux jambons » se présente comme l'autobiographie d'un cochon conformiste, voire petit bourgeois ayant une haute idée de son avenir. Fournir la meilleure viande est pour lui une mission sacrée, un sacerdoce, un but auquel il ne se dérobera pas. Mieux que ça, il s'agit de son honneur, du sens de sa vie.
L’action se déroule dans la bauge de ce cochon philosophe, il nous raconte sa vie, son univers, ses rapports avec son humain de porcher avant qu’il ne soit appelé à subir, in fine, son abattage auquel nous assistons dans une ultime répétition de celui-ci.
Cette pièce, traitée sur un mode comique, est accessible à tous publics intéressés un tant soit peu par le monde animal, le porc en particulier, les végétariens seront confortés dans leurs opinions, les autres apprécieront, à vue, la qualité des jambons.
Et aussi entre les spectacles :