Ah, on en a entendu de belles ! De l’envolée lyrique de compèt’, de la prose de poète, de la poésie d’homme politique… et de la Pudeur ! partout de la pudeur, à en rougir, de la pudeur de plateau télé, de presse people, d’écrivain-exhibitionniste… Bref, rude soirée pour les zygomatiques que ce Mercredi 16 Novembre. Les Nouveaux Rebelles nous ont donné ce qu’ils ont de meilleur : de bonnes raisons de rire à leurs dépends. Au point de mettre en péril les lectures mêmes !.. puisque le public, hilare, a parfois réussi à entraîner les Lecteurs dans cette grande poilade collective.
Le commentaire d’Abdel-Hafed Benotman, rebelle de fait, en opposition totale avec cette esthétique de la « Rebellitude institutionnalisée », était bienvenue. Ses aphorismes ont constitué la conclusion idéale à la soirée : il est rassurant de constater qu’après ce vide, étalé sans vergogne, page après page, livre après livre, il soit encore possible de trouver des Écrivains pour en dire tant, le temps d’une simple phrase.
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