dimanche 30 mai 2010

RESULTATS PRESELECTION REPORTES A MERCREDI 02 JUIN



Les résultats définitifs de la présélection sont reportés au mercredi 2 juin à 19h00. En effet le jury de présélection doit finaliser ses choix en visionnant de nouveau l'ensemble des films. La quantité des réalisations étant cette année plus importante. Merci de votre compréhension.

L'affiche 2010 est réalisée par Ropélé Alexandra élève de 3eme






samedi 29 mai 2010

Carlos Santana : « Je chante avec mes doigts »

« Je chante avec mes doigts » a déclaré l’artiste mexicain Carlos Santana en réponse à une question relative à ses rares prestations vocales lors d’une conférence de presse donnée vendredi 28 mai à l’hôtel Amphitrite Palace de Skhirat. « J’estime comme BB que ma guitare est semblable à une femme qui a ses sauts d’humeur auxquels il faut s’adapter. Il faut la complimenter et toujours être présents pour pouvoir tirer le meilleur d’elles » a-t-il ajouté. Interrogé sur ses prouesses musicales, Santana a affirmé « je ne suis encore qu’un étudiant, je n’ai pas encore fini d’apprendre ». La star mexicaine a ajouté qu’il était venu « célébrer l’esprit de l’humanité et le respect de toutes les religions ». « Nous sommes l’amour et la lumière » a-t-il ajouté avant de critiquer les chaines satellitaires comme BBC ou CNN qui sont « une illusion collective qui est en train de promouvoir la peur ». Au sujet d’une question concernant sa venue au Maroc dans les années 90 pour un concert, Carlos Santana a donné pour seule réponse « Il est important de donner de la valeur à la femme (…) qui sont les accompagnatrices de la lumière ». Rappelé sur le sens de la question à laquelle il n’a pas répondu, la star a curieusement répondu sans préciser « ce que j’ai dis sur la femme répond à la question sur ma venue au Maroc »

L’affiche explosive de la scène Soussi continue à décliner ses stars. Vendredi soir, c’était au tour de Carlos Santana, un autre virtuose de la guitare d’enflammer, après BB King, l’immense terrain vague du quartier huppé de Rabat où se sont retrouvées des centaines de personnes.

Habillé d’un large T-shirt à l’effigie de Bob Marley et armé de sa guitare devenue au fil de la légende son prolongement organique, l’artiste mexicain s’est avancé pour gratifier le public de son habituel salut avant d’entonner les premières notes d’un concert féroce marqué par les envolés mythiques de la guitare Santana et un duo avec gnaoua comme il l’avait fait lors de son premier concert au Maroc dans les années 90, cette fois avec le maâlem Bakbo.

C’est probablement la recette qui donne à la guitare de Santana cette signature, si particulière, à l’origine de l’excitation des neurones des passionnés de la premières heures comme Aberrahim, technicien dans une société de vidéo surveillance, nostalgique « dial stinet »,venu avec ses amis consommer ce soir leur part musicale de rêve.

La magie de l’époque psychédélique est toutefois loin, les accords salsa et jazz-rock sont beaucoup plus modernes, mélodiques et accessibles, moins envoutants jugeront les puristes. Mais, ces considérations, le public Mawazine n’en avait que faire. Avec pour point d’orgue l’excellentissime Black Magic Women, l’invitation rock saupoudrée de Salsa était trop entrainante. Chez la grande majorité des spectateurs, la rébellion du corps sur l’esprit ne laissait aucune miette au jugement avec aux commandes le Santana Blues Band.



Source Menara

10 ans

Merveilleuse fête pour ces 10 ans d'anniversaire de Damada!
Merci à tous, aux danseurs, aux musiciens, à ceux qui ont fait les "cartes blanches" du dimanche soir, aux techniciens son qui ont fait un super travail, et un grand merci à l'équipe de bénévoles qui, avec les élus de la commune, assument l'organisation du festival. Depuis 10 ans Damada a été un bonheur grâce à ces éléments qui ont fait ensemble le festival : une équipe de bénévoles, une équipe technique, une programmation, des musiciens et des danseurs.

Dessins : Lydia Staemmler, Musique : "Charlie" - Hautbois : Nicolas Garnier, Guitare :Benjamin

Avant de lancer de nouveaux projets, je voudrais rapporter ce que beaucoup d'entre vous m'ont dit avant de reprendre la route : tout ce qui a été fait  cette année, et depuis 10 ans, par l'organisation du village de Coulans, est exceptionnel: l'ambiance chaleureuse, les multiples attentions portées à ce qui sera agréable, des décors à la nourriture, de la qualité du son à celui des parquets de danse... cela a fait de Damada une rencontre privilégiée entre les personnes, entre musiciens et danseurs... Et parce que cela a été fait par des bénévoles, cela a aussi permis que notre festival rémunère les intervenants, tout en gardant des tarifs les plus bas possible... Un mot en résumé : "Merci".
Après 10 ans de préparations et de service durant le festival, beaucoup de l'équipe des bénévoles de Coulans et alentour, souhaitent faire une pause. Ils ne se désintéressent évidemment pas du festival et seront là pour nous aider à prendre le relais dans les meilleures conditions.


Pour ces 10 ans, en plus des photographes, une dessinatrice, Lydia, a fait des dessins des danseurs. Vous pouvez en voir quelques uns :





vendredi 28 mai 2010

Vernissage

9 juillet 22h au Bois des Moutiers

Jean-Michel Bertin
et Le Grand Bizarre, Bal électro-bucolique : Mise en lumière et en musique du parc du Bois des Moutiers
Une surimpression de couleurs, de matières et de sons métamorphosera le parc du Bois des Moutiers le soir du vernissage, dans une folle hybridation entre la splendeur du jardin à l’anglaise et un combo d’effets bruts en chaine.
Une musique électro cosmique.
Une machine à fumée en haut de la pente.
Un stroboscope dans un buisson.
Un ventilateur géant dans un arbre.
Des jeux de couleurs dans un bosquet.
Un brasier sur un talus.
Des micros feux d'artifices de temps à autres.
Et la magie du parc…

Projection de vidéos et films


Samedi 24 juillet à DSN

18H30 Présentation de vidéos du Centre Pompidou par Florence Parot
20H30 «Une partie de campagne» de Jean Renoir + «La Dérive» de Philippe Terrier-Hermann


Palimpseste
Présentation d’une sélection de vidéos par Florence Parot de la collection Nouveaux Médias du MNAM, Centre Pompidou.
Cette sélection donnera à voir des vidéos, qui font du paysage, de la lumière et de la couleur des éléments essentiels. Certaines œuvres se voudront réalistes - choisissant leurs sujets dans la vie contemporaine (Jean-Luc Godard, Rachel Reupke, Bill Viola) – les autres (Thierry Kuntzel, Nik Thoenen & Timo Novotny, Karo Goldt,) s’attacheront à ne montrer que la part immatérielle de ces éléments.

Une partie de campagne de Jean Renoir + La Dérive de Philippe Terrier-Hermann
Jean Renoir renoue ici avec l’univers de son père, le peintre Auguste Renoir. On retrouve, transposé au cinéma, l’esthétique et les thématiques impressionnistes, au point que l’on peut faire correspondre littéralement des séquences d’Une Partie de campagne à des tableaux du père, La Balançoire, Les Canotiers, ou encore La Promenade.
Réalisé sur les mêmes lieux qu’Une Partie de campagne, référence qui s’est imposée au réalisateur comme une évidence après l’écriture du scénario, La dérive évoque de nombreux aspects du film de Renoir. Le cadre bucolique bien sûr, loin de l’agitation urbaine, éveille chez les personnages la même tension entre joie de vivre et mélancolie.

Concert Edward Barrow


Edward Barrow (chant, piano), Benoît Laporta (guitare, clavier), Jean-Baptiste Bernet (banjo, harmonium)
Avec élégance, émotions pudiques, sensibilité et romantisme discrets, Edward Barrow, auteur, compositeur et interprète français d'origine anglaise s'impose comme un crooner du XXIème siècle par des compositions sobres, doucement mélancoliques, apaisantes et spontanées. Entre folk ambiancée et inflexions jazzy, Edward Barrow crée un univers musical singulier, à la fois intimiste et généreux où l'on devine les influences raffinées de Marianne Faithfull, Léonard Cohen ou bien encore Anthony and the Johnsons, Radiohead ou Scott Matthew. Ses chansons possèdent cette capacité à faire naître des images et une atmosphère particulières. Jouées dans le très beau salon de musique du Bois des Moutiers, elles entrent en correspondance avec la luxuriante et harmonieuse composition du jardin à l’anglaise.

Concert Debussy, Ravel, Roussel, Yamada

Samedi 17 juillet, 20h30 au Bois des Moutiers, Varengeville

Trio: Alessandro Fagiuoli, violon, Luca Paccagnella, violoncelle et Jean Pierre Armengaud , piano.

« Trio en sol majeur de Debussy », « Trio en fa mineur » et Sonate de Ravel, « Choses vues de droite et de gauche » pour violon et piano de Satie, "Segovia" de Roussel.
« Miroir / Reflet », une création originale de Norman Yamada pour le trio et avec la participation de la violoncelliste Frances Bartlett
Le trio interprètera 3 œuvres de la période impressionniste et une commande spéciale à Norman Yamada qui propose d’expérimenter l’écoute, d’être attentif à la manière dont on perçoit les sons et quelles impressions produit un dispositif particulier.

Manoir d'Ango, Varengeville


Anri Sala,
Time after time, 2003, vidéo (5 min 22)
Projetée dans les écuries du Manoir d’Ango, la vidéo Time after time d’Anri Sala surprend par son obscurité, son silence, tant que par son sujet. Le thème hippique etait traité par les peintres impressionnistes, en particulier Manet et Degas, comme un aspect incontournable de la vie quotidienne au 19ème siècle. Le cheval permettait d’exprimer la vitesse, ce qui rejoint, chez les impressionnistes, l’attention portée à l’instant. Dans la vidéo de Sala, l’animal semble ne plus avoir de place, à une époque où l’automobile a depuis longtemps supplanté l’attelage. L’apparition d’un cheval immobile et fantomatique dans une écurie abandonnée est aussi incongrue et poétique que sa présence au bord d’une autoroute…

Alice Schÿler Mallet, Light, Space, Water, 2010 Installation
L’artiste travaille souvent in situ, en résonnance avec l’histoire et les vibrations du lieu : ici, elle s’est inspirée des empreintes d’arcades visibles sur un mur de la tour orthogonale du manoir d’Ango, ainsi que de la légèreté de l’élévation architecturale. Le nuage de plume incarne une mémoire infidèle, une impression subjective de ce lieu.

Rada Boukova, De l’illusion, 2010 installation in-situ
Une clé en néon éclaire l’espace et le grésillement du branchement électrique résonne dans l’espace clos. L’artiste joue ici sur le double sens des mots et des choses : la clé sert à ouvrir et à fermer, mais au sens figuré, une clé est aussi un outil de compréhension ou d’explication. Ce message est ici doublé par la symbolique de la lumière, qui éclaire et permet de voir. Cette œuvre ne renvoie donc à rien d’autre qu’à elle-même : elle est sa propre clé, sa propre lumière. Avec le néon, la lumière et la couleur, qui fascinaient les impressionnistes, ne font qu’un avec l’objet. On peut alors questionner les éléments ici rassemblés : la lumière pourrait être la clé de la couleur ? Ou la couleur la clé de la lumière ?

Sari Myohanen, Hortensia 1 et 2, installation in situ, 2010

Au jardin du Manoir d’Ango, deux interventions dans les
étangs mettent en scène des associations chromatiques
suggérées par le voisinage de la collection d’Hortensia
du Jardin Shamrock. L’étude de ces fleurs prend la
forme de compositions en pixels 3D, pour zoomer dans
les fleurs, et dézoomer dans le paysage. Des fleurs sur
l’eau ? Une variation conceptuelle sur le thème des
nymphéas de Monet. Chaque Hortensia propose une
expérience impressionniste : cette fleur expose une
richesse de variations de couleurs froides (roses, violets,
bleus, menthes), qui s’étend de pastels grisés jusqu’aux
nuances fluorescentes. Chaque boule de fleurs est un
monde, une collection fractale de plus petites fleurs,
parfois légèrement tachetées.


Groupe scolaire d'Arques-la-Bataille

Marti Folio, Anachronismes 1, 2 et 3 peinture, 2010
Marti Folio présete un triptyque réalisé spécialement pour le festival: trois toiles, trois angles d'un même paysage, un panorama qui nous ramène sur les pas du peintre William Turner et de sa rencontre avec le bocage environnant la commune d'Arques-la-Bataille. Presque deux siècles plus tard, sous le même angle de vue, l'inspiration première laisse place à une ré-interprétation, une impression de l'impression... Rien n'a bougé même si Marti Folio s'amuse avec discrétion de cette cheminée d'usine et d'autres petites touches post-impressionnistes, comme des indices temporels anachroniques.

Véronique Ellena
Paysages , 2009, photographies
Les photographies de Véronique Ellena reflètent une vision épurée du monde, reposant sur une observation subtile et attentive. Ses paysages invitent à la contemplation, et sont porteurs, dans leur simplicité même, d’une certaine émotion silencieuse. Cette série nous renvoie aux fondamentaux de la peinture classique, par la rigueur et la sobriété de la composition, la qualité technique et plastique des images. Ce sont les mêmes lieux que traitaient les impressionnistes, cadrés frontalement de manière à immerger le spectateur. L’artiste porte elle aussi beaucoup d’attention aux couleurs et à la lumière, qu’elle soient intenses, comme dans Le Havre, ou toutes en nuances dans Sète.

Xavier Veilhan Paysage fantôme N°5 (2003), reproduction photomécanique et Six animaux (1989), sculpture
La représentation, chez Xavier Veilhan, passe par une schématisation ou une simplification des formes. Dans la série des Paysages fantômes, les détails et les couleurs sont éliminés, l’image est réduite à des pixels. Pixels qui pourraient être l’équivalent numérique de la touche du pinceau impressionniste ou pointilliste. L’artiste s’attaque à des archétypes de l’art, ici un paysage « cliché », les falaises d’Etretat traitées de nombreuses fois par les peintres impressionnistes Eugène Boudin, Claude Monet, Eugène Delacroix. Mais l’impression que nous livre Xavier Veilhan est celle d’une image qui tend à sa plus simple expression formelle, et non à rendre la lumière propre à un instant, à exprimer une sensation du paysage. Les Six animaux sont les spectateurs inattendus de ce paysage. Schématisés eux aussi, tous ramenés aux mêmes dimensions sans souci de réalisme, ils forment une communauté, au statut indéterminé, entre jouets, totems et statuaire.


jeudi 27 mai 2010

Omar Sosa & Bigg à l'edition du festival Mawazine 2010

« Le festival Mawazine n’est pas seulement un lieu de concerts, c’est un lieu de création » a tenu à préciser lors d’un point de presse, Aziz Daki, directeur artistique du festival Mawazine qui propose des spectacles inédits réunissant des musiciens marocains et étrangers.

Parmi ces créations, les festivaliers retiendront probablement celle qui a uni mardi soir sur la scène Yacoub Al Mansour le jazzman cubain de renommée mondiale Omar Sosa et le rappeur national Bigg pour un concert des plus animés.

Jugée à priori improbable mais originale, la rencontre a tenu une partie de ses promesses en livrant au flow du dernier album de Bigg, Byad o Khal, un fond musicale jazz d’une qualité remarquable dont Omar Sosa a la recette. Toutefois, le plaisir attendu à l’intersection des deux univers s’est fait attendre contrairement à la fusion Omar Sosa-gnaouas livré il y a quelques années à Essaouira.

« Il est vrai que la rencontre peut paraitre improbable, mais il ne faut pas oublier que le rap et le jazz ont la même origine, la musique noire américaine » rappelle Bigg. « Notre rencontre ne souffre d’aucun complexe car la source est commune, africaine. C’est une fusion maroco-cubaine, mais c’est surtout une musique de la terre » ajoute Omar Sosa.

La résidence d'Omar Sosa et Bigg a débuté au mois de janvier 2010 par une rencontre à Barcelone, elle s’est poursuivie par mail et téléphone avant d’atterrir dans les ateliers de Mawazine pour dix jours accélérés.

« Je ne comprends rien aux paroles de Bigg, mais j’aime beaucoup la musicalité de ce flow marocain qui est spécial. La première fois que j’ai écouté ça sur Youtube, j’étais impressionné » ajoute le pianiste cubain qui évoque le respect comme point de suture.

Le grand bénéficiaire de ce duo est assurément le dialecte marocain qui trouve dans le travail mondialement reconnu d’Omar Sosa un de ses meilleurs avocats. « Les préjugés sur la langue de la rue sont nombreux » regrette Bigg qui utilise le langage cru de la Darija dans ces paroles. « Mais pour moi c’est une langue importante, on peut parler darija et dire des choses importantes » assure le rappeur.


Source Saïd Raïssi

Belle prestation de la chanteuse libanaise Myriam Farès

Le public de la 9ème édition du festival "Mawazine" de Rabat a été, mardi soir, au rendez-vous avec la vedette libanaise, Myriam Farès, qui l'a émerveillé en le gratifiant d'une belle prestation ponctuée par sa réinterprétation de chefs d'oeuvres de la chanson marocaine, arabe et internationale.

Dès sa montée sur scène, la star libanaise, habituée du Maroc et du public marocain, a été longuement ovationnée par un public inconditionnel auquel elle a offert ses plus grands succès, notamment "Waheshni Eih", "Moukano Wein", "Mouch Ananiya", "Betrouh", Bet'oul Eih", "Eih Yalli Byohsal", "Ana Wel Shoq" et "Nadini".

La foule, emportée par une ambiance de joie exubérante, a été conquise le temps d'une soirée par la magnifique performance d'une Myriam Farès qui, débordante d'énergie, a su combiner chants et danses pour offrir un concert à la hauteur des attentes.

Des chefs d'oeuvres marocains admirablement revisités

En guise d'expression de la profonde affection et de la grande estime qu'elle éprouve au public marocain, Myriam Farès n'hésita pas, au grand plaisir de l'assistance, à réinterpréter deux chefs d'oeuvres de la chanson marocaine.

Ainsi, elle a emboîté le pas à son compatriote Ramy Ayach, en interprétant admirablement "Nidae Al Hassan" qui a retenti pour la seconde soirée consécutive à la scène Hay Nahda, emportant de nouveau le public par ce chant mélodique et patriotique dans une ambiance des plus féériques.

Par la suite, elle allait épater la foule fourmillante en interprétant l'immortel disque "Alash Ya Ghzali" du regretté Maâti Belkacem. Ce disque a été somptueusement chanté par la star libanaise, qui a longuement travaillé lors des répétitions pour apprendre ses paroles et perfectionner sa diction marocaine.

Un sacré pari gagné haut la main par Myriam: le public ayant répété à l'unisson les paroles de cette perle de la chanson marocaine.

Cerise sur le gâteau, Myriam Farès a repris avec succès des classiques de la mémoire musicale arabe et internationale. Elle a fait vibrer le public aux rythmes de la musique latino grâce à l'incontournable tube "la Bamba": "Para bailar la bamba se necesita una poca de gracia".

Cette prestation n'a laissé personne indifférent. Preuve en est, la chanson a été fortement acclamée par le public. Même effet pour l'immortelle "Al Atlal" de la diva arabe Oum Keltoum, puisque la star libanaise a enchanté le public par sa prestation d'un morceau de cette chanson chère aux coeurs de tous les mélomanes de la chanson romantique classique.

Myriam Farès a ainsi régné le temps d'une soirée sur la scène Hay Nahda devant un public qui était vraiment gâté car il a eu la chance d'assister à ce concert de la star libanaise qui, comme l'a affirmé avant de quitter la scène, se souviendrait longtemps de sa prestation au festival Mawazine.

Née le 3 mai 1983 à Kfarhatta au Sud du Liban, Myriam Farès, bien avant d'être une idole libanaise et l'une des plus belles stars de la scène musicale arabe, a été formée à la danse classique, puisqu'elle rentra au Conservatoire à l'âge de cinq ans puis plus tard, étudia la musicologie.

Elle a été révélée à l'âge de 16 ans par le Lebanese Song Festival dont elle remporte le premier prix. Ayant participé à plusieurs festivals, Myriam Farès compte à son actif des albums, dont "Myriam", "Nadini Myriam" et "Bet'oul Eih".

Elton John sur scène pendant le festival de musique Mawazine 2010

Accueilli par une foule compacte, le chanteur britannique qui a refusé de se plier à la traditionnelle conférence de presse s’est installé devant son piano, après les remerciements coutumiers, pour débuter par une langoureuse virée instrumentale avant d’extraire de son instrument fétiche les succès qui ont fait de lui l'un des plus gros vendeurs de disques de tous les temps.

Connu et reconnu au Maroc, Sir Elton Hercules John a fait l’objet de mini-scènes d’agitations de jeunes fans venu contempler « pour de vrai » celui dont ils connaissent par cœur certains des tubes comme Goodbye Yellow Brick Road ou Night's Alright.

« Je suis spécialement venu d’Agadir avec mes deux filles (19 et 21 ans) pour écouter celui qui a bercé une bonne partie de mon adolescence et qui est aussi apprécié par mes deux filles. Ces chansons dépassent les générations » assure Karima, une jeune comptable qui s’est offerte trois jours de repos pour l’occasion.

Les plus privilégiés se sont donné rendez-vous devant la scène. « Le prix du billet (600 dhs) est élevé. Nous sommes trois, moi, mon fils et mon mari. Ca fait beaucoup d’argent » se plaint une résidente française au Maroc accompagnée d’amis venus spécialement de Strasbourg qui ont décidé cette année de faire coïncider leur congé avec Mawazine.

« Mais il était hors de question de rater Elton John qui se fait rare même en France » se justifie-t-elle. Moins bien lotis, mais non moins heureux les festivaliers qui n’ont pas les moyens de se payer l’avant-scène (et dont beaucoup ,avant de s’informer, pensaient que le concert était payant induits en erreur par une campagne de pub centrée sur l’espace privée) ont pu profiter d’une ambiance encore plus électrique, même lorsqu’il était question de communier dans le calme imposé par l’émotion des monuments de la variété mondial que sont Sacrifice ou Candle In The Wind, chanson la plus vendue au monde dédiée à Marilyn Monroe.

« Je connais la chanson, mais je ne savais pas qu’elle était de lui » sourit Abdallah, un jeune vendeur de cigarettes en détails troublé comme de nombreux marocains par la personnalité controversée du personnage.

« C’est vrai qu’il est homosexuel » questionne Abdallah qui prétend qu’il ne voulait pas venir comme l’a demandé le parti Justice et Développement. Un appel qui n’a visiblement pas a été entendu par de nombreuses personnes dont les 40 000 spectateurs annoncés par les organisateurs.




Source Menara

mercredi 26 mai 2010

Prochain festival


Le prochain festival de la Cour St Pierre aura lieu le week-end des 5 et 6 juin.
Venez nombreux !

Le Festival Diapason s'associe à un nouveau directeur artistique !

Pour diffusion immédiate


Diapason s’agrandit et s’harmonise à une nouvelle direction artistique
Marc-André Pilon se joint à l’équipe du festival


Laval, le 20 mai 2010
– Le Festival musical indépendant Diapason s’associe à un nouveau directeur artistique pour établir la programmation de son édition 2010, qui se tiendra du 4 au 7 novembre, à Laval.

Autrefois guitariste au sein de la formation montréalaise Max Planck et s’accordant à présent au groupe LeGlobe, Marc-André Pilon a un rythme constamment lié à la musique. Fort de son travail à Bande à Part à la programmation musicale et à la recherche depuis près de 5 ans, il a aussi bercé son habileté à dénicher de nouveaux talents dans des projets divers tels que Sacré Talent!, projet mené par Radio-Canada qui chaque mois offre son support à un artiste de la relève musicale francophone, ainsi qu’à la plus récente hommage versée à Plume Latraverse.

Marc-André ajoute donc une note à sa portée musicale en élaborant la programmation de la 3e édition du Festival Diapason. Attendez-vous à une instrumentation à la fois éclectique, accessible et relevé.

La programmation 2010 du Festival Diapason sera dévoilée le 28 septembre 2010.
http://www.festivaldiapason.com/

-30-

Source : Emilie Morneau
Courriel : info@festivaldiapason.com
Tel. : 450-978-6828
-
Contact : Marc-André Pilon
Courriel : programmation@festivaldiapason.com

dimanche 23 mai 2010

Mika sur la scène Souissi

« Relax, take it easy » C’était le mot d’ordre de la soirée de samedi en même que le titre du tube planétaire de la star américaine d’origine libanaise, Mika qui lors de son concert sur la scène Soussi hier soir a transportait le public rbati dans un univers musical fabuleux habité de personnages exentriques.

Projetée sur grand écran, personnifiée dans le jeu de scène de la troupe de l’artiste ou encore présente sous forme de deux immenses jambes gonflables, l’invitation au délire pop-rock de ce jeune musicien né à Beyrouth en 1983 est irrésistible même pour ceux qui ne connaissent pas le répertoire de Mika concentré autour de deux albums mais surtout deux singles, d’abord « Relax, take it easy » édité en 2006 qui devient le deuxième titre, après celui des Artic Monkeys, à atteindre la première place des charts anglais uniquement grâce au téléchargement, ensuite Grace Kelly qui se hisse à la première place des ventes de disques au Royaume-Unis.
« Je suis heureux de participer à un festival où il est possible de aussi bien de voir des stars de l’envergures d’Elton John dont je suis fan que de découvrir des groupes comme les japonais Turtle Island » a affirmé Mika quelques heures avant le concert lors d’une conférence de presse organisée à Rabat durant laquelle il a aussi souligné son attachement pour la musique arabe dont Fayrouz pour qui il voue une grande admiration.

Son envolé artistique, Mika la doit surtout à sa révolte contre une enfance difficile notamment à l’école qu’il a du momentanément quitter à 11 ans. « J’ai créé mon propre monde pour me protéger. Je me disais que si je réussissais, je n’aurais plus peur. J’ai donc brossé un autre tableau de moi, ce qui m’a fait dire ‘Je ne suis pas ce que vous croyez, je suis fait d’or’ ».

« We are golden » a-t-il scandé hier soir. Plus tôt dans la journée les festivaliers ont eu l’occasion de découvrir Harry ConNick Jr programmé au Théâtre Mohammed V de Rabat à 19h30. L’artiste américain est notamment connu pour avoir composé la musique de « Quand Harry rencontre Sally ». Il compte à son actif un album disque d’or, quatre disques de platine et trois multiples platines ainsi que deux Grammy Awards.

Source menara


vendredi 21 mai 2010

Centrale de Penly


(jusqu'au 29 août)
Christian Merlhiot, Le Procès d’Oscar Wilde, 2010, Film, 48mn, vf st ang.

Oscar Wilde était proche des impressionnistes, en particulier du peintre James Whistler. Il a expérimenté des rapprochements entre poésie et peinture sous la forme de « poèmes visuels » qu’il nommait Impressions, et a toujours défendu la subjectivité en art. En 1897, à l’issue d’un procès qui se retourne contre lui, il est reconnu coupable d’homosexualité et condamné à deux ans de travaux forcés. A sa libération il change d’identité, quitte l’Angleterre pour Dieppe et s’installe à Berneval, puis à Paris. Pour son film, Christian Merlhiot a sélectionné de larges extraits du procès afin de rendre compte de ce dernier « coup de théâtre » dans la vie de l’auteur. Il ne s’agit pourtant pas d’une reconstitution historique ; en effet, le film met en scène un jeune traducteur travaillant à la version arabe du procès et c’est le même acteur, Nasri Sayegh, qui interprète seul les différents rôles.

Château-Musée


Ange Leccia, La Mer, 1991, vidéo HD, 4mn
Dans cette vidéo sans début ni fin, Ange Leccia enregistre avec un point de vue inhabituel le mouvement infini des vagues, qui se forment puis viennent s’épuiser sur la plage. Le rythme de la mer, le silence, les couleurs intenses et la transformation des formes fascinent et invitent à la contemplation. Pour les peintres impressionnistes, la mer était un sujet idéal pour rendre compte de la lumière et du mouvement, ainsi que des couleurs de l’eau et du ciel variant à chaque instant. Chez Ange Leccia, les phénomènes naturels permettent aussi de donner à voir l’apparition et la disparition de l’image, sa propre matérialité.

Gabor Ösz Stavern B. (Norvège), 2001 Photographie Cibachrome camera obscura
La pratique de Gabor Ösz est fortement déterminée par la technique qu’il emploie : le sténopé, ou camera obscura. Le sténopé permet d’obtenir des photos sans appareil photo, et sans passer par le négatif puisque c’est le papier qui est directement exposé. Cette photo fait partie de la série The Liquid horizon, que l’artiste a réalisé à partir des blockhaus du Mur de l’Atlantique. Gabor Ösz a utilisé les blockhaus comme des camera obscura : en laissant le papier photo pendant au moins 4 heures à l’intérieur, il obtient une photo du paysage visible par les meurtrières. A l’opposé d’un instantané, c’est l’image d’une durée, puisque les seuls éléments que l’on peut voir sont ceux qui n’ont ni changé ni bougé. D’une certaine façon, c’est la démarche inverse de celle des impressionnistes, qui cherchaient justement à saisir l’instant.

Andy Gillet et Philippe Terrier-Hermann, Persicaire, 2010 Film, 8mn
Ce film réalisé spécialement pour le Festival par Andy Gillet et Philippe Terrier-Hermann propose une visite subjective du Bois des Moutiers, ensemble architectural et parc conçus en 1898 par le célèbre architecte anglais Sir Edwin Lutyens avec l’aide de la paysagiste Miss Gertrude Jekyll. Cette sublime propriété « Arts & Crafts » a reçu nombre d’hôtes de prestige et a marqué nombre d’artistes de la période impressionniste à nos jours. Le film présenté au Château-Musée de Dieppe, à proximité des peintures de Jacques Emile Blanche, s’inspire librement des souvenirs de la visite de la propriété que ce dernier a faite avec Jean Cocteau en 1913. Ce souvenir du Bois des Moutiers fait partie d’un ensemble d’écrits et de dessins considéré par l’auteur comme sa première œuvre : Le Potomak.

Médiathèque Jean Renoir


(jusqu'au 29 août)
Simon Faithfull We Climbed round a final ridge and saw a whaling-boat entering the bay 2500ft, below. A few moments later we saw the sheds and factory of Stromness whaling-station. We paused and shook hands. Ernest Shackleton, 2005 Vidéo, 12mn

Des otaries se sont approprié une station de pêche désertée par les hommes. La scène est incongrue, drôle et poétique; rien de drama-tique dans cette disparition de la présence humaine, puisque le lieu est devenu le terrain de jeux des animaux. En 2005, Simon Faithfull part en Antarctique avec une équipe de scientifiques sur le navire Ernest Shackleton. Cette vidéo fait partie du « Ice Blink Project », c’est-à-dire de ce voyage, et de ce que l’artiste en a ramené afin d’en rendre compte. Le titre raconte la découverte de la station de pêche, suggérant que la vidéo serait une sorte de journal de bord : l’artiste rapporte ce qu’il a vu, ses impressions de voyage, ici sa surprenante rencontre avec des otaries

mardi 18 mai 2010

Festival des Violettes 8 ème édition le 17 juillet 2010


Le Festival des Violettes
8 ans déjà !



8 années d'engagement militant bénévole ...
8 années de partage et de rencontres artistiques ...
8 années d'envies et de réflexion pour ce « pays de l'au-delà » ...
Avec en substance les musiques actuelles comme liant pour un humanisme rural ... Le comité des jeunes de Sainte Eulalie n'a pas finit de secouer palissat, cairat et autres perrons du plateau ! Un peu de jeunesse et du son ... ça fait du bien nom d'un chien !

cela fait autant de raisons pour nous rejoindre le 17 juillet au Festival des Violettes !


une édition 2010 hors du commun ...

Cette année, la rencontre inter-générationnelle, la croisée des styles musicaux, et l'éclectisme rural seront à l'affiche, fidèles à nos engagements !
Du punk manouche au Ska anar', en passant par la musique trad et le groove-funk en fanfare, pris au dépourvu vous serez...et de son lit la Loire naissante débordera !
Concerts dès 20h30 :
Le groupe emblématique de la scène alternative ska-rock...

Los tres Puntos
« Ska rock alternatif »
Région parisienne

Los Tres Puntos sillone depuis 1995 les routes d'Europe. Formation atypique dans le paysage actuel : partisans de l'auto-production, de l'indépendance et de la liberté d'expression, c'est en concert que leur militance culturelle crée du sens, dans une démarche intra musicale et extra musicale.

De la Mano Negra aux Specials, en passant par The Clash, leurs racines musicales alternatives sont assumées et sublimées !
site web Los Tres Puntos

Tarace Boulba
« Fanfare Funk associative »
France

Créé par deux anciens membres des Negresse Vertes,Tarace Boulba est une fanfare funk associative réunissant plus de 800 musiciens amateurs de tous les horizons autour d'un seul répertoire original et métissé. Son dernier album, « Merci pour le Tiep » multiplie, croise et brasse les influences, des pulsions africaines, des relents gogo, une guitare juju, une cocotte reggae…
une gigantesque auberge espagnole funk pleine de vie où tout le monde trouvera sa place.
site web Tarace Boulba

Les Voleurs de Swing
« Punk manouche »
Centre France



Avec la sortie d'un premier album en 2009 « Anarchie en Syldavie », Les Voleurs de Swing ne cessent de monter en flèche au sein de la scène française.
Les trois compères (guitare, violon, contre-basse) de cette formation ont crée un univers imaginaire « la Syldavie », empreint de touches punk, de pointes hip hop, d’envolées classiques donnant un ensemble rock tzigane totalement déjanté. Une révolution musicale accompagnée de l’omniprésence des voix chantées, criées, rapées.
Un monde unique, empreint d’une atmosphère de fête tzigane, à découvrir sur scène où le langage des Voleurs de Swing est le plus expressif.
site web des Voleurs de Swing



Hydromel
Interscène
Ardèche « Musique Traditionnelle »

Hydromel est un groupe local phare de l'esprit bal trad/folk.
Composé de 6 musiciens amateurs et professionnels, il développe un répertoire trad allant des musiques occidentales jusqu'aux danses d'Europe de l'Est en passant par les Scottish d'Irlande.


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accès au Festival des Violettes :
Afficher Festival des Violettes, Festival de Rock en Ardeche ! sur une carte plus grande

>>> Pensez aussi à l'éco-voiturage, pratique, convivial, écologique et économique !


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Et l'après midi, dès 14h00, ne ratez pas le Village Associatif

décalé, insolite, innovant, bizarre ... Rejoignez-nous dans le village associatif « Mosaïque de vie », et ensemble, construisons un humanisme rural chaleureux !

Marché paysan et artisan
Brocante rurale
Jeux coopératifs
Discussions autour du « vivre ensemble en milieu rural »
Balades en Poneys, jeux en bois
Conte
Golf rural
Parcours sensible (Les padgels ouvrent leur coeur : expo, écriture, objets singuliers ou communs, installations insolites);

Et plein d'autres surprises qui vous attendent ... avec notemment une performance dansée de 20 mn environ ~ l'épuisement du foin ~ par Natacha Nicora (Fragment de Niof, chorégraphie de Mireille Cluzet)

pour des territoires vivants, aujourd'hui et demain, venez partagez ce moment convivial !


Participation aux frais (uniquement concerts) : 13 €, qui nous permettent d'exister !

Camping sur place gratuit, repas paysan en soirée, et bières artisanales ...


Découvrez le village associatif à travers cette vidéo de la 7ème édition 2009 !

Renseignements /contacts Festival des Violettes :
festival.des.violettes@gmail.com
06 63 64 58 73 ou 04 75 38 89 78.

~ Appel aux bénévoles ~

Vous désirez participer à la 8ème édition du Festival des Violettes et partager ce moment convivial avec nous ?

>>> téléchargez, remplissez et renvoyez nous la fiche d'inscription disponible en cliquant ici, soit par e-mail à festival.des.violettes@gmail.com ou par courrier à l'adresse suivante:

Comité des Jeunes
à l'attention de Lise
Espace Gerbier
07510 Sainte Eulalie
Pour toutes informations complémentaires, contactez Lise (responsable des bénévoles) au 0675471925

Merci à vous tous ...

Le festival d'été s'est achevé dans l’apothéose comme de coutume à l'abbaye de Saint Avit-Sénieur . Mais ce festival en Bergerac c'est aussi une saison d'hiver avec l'association Art et Culture à Bergerac même. Tous les concerts débutent à 20h45.





Mercredi 15 Février 2012, Centre Culturel de Bergerac

Les solistes de Lyon-Bernard Tétu
Les percussions claviers de Lyon

au programme West Side Story version concert





Mercredi 28 Mars 2012, Centre Culturel de Bergerac

Ophélie Gaillard, violoncelle

au programme Jean-Sébastien Bach
suites pour violoncelle seul




Vendredi 4 Mai 2012, Centre Culturel de Bergerac


l'Italienne à Alger
Opéra-bouffe festif et tout public
de Gioacchino Rossini











Retour sur les soirées de l'été 2011

18 spectacles dans des lieux prestigieux du Périgord pour l’un des festivals les plus originaux du grand Sud-Ouest.





Le Festival l’Été Musical en Bergerac est une production
d'ABC MUSIQUE, 1 rue des Récollets - 24100 - BERGERAC

Bureau du Festival: 42 Rue St Jacques 24540 - MONPAZIER

Renseignements et Réservations:

05 53 74 30 94
06 63 40 98 29

E-mail : festivalbergerac@wanadoo.fr
URL : http/www.youtube/user/festivalbergerac




Président directeur Marc Chisson

Directrice artistique Isabelle Brunet

Réalisateur et blogmaster Pierre Haneuse
(Silver Productions France)

05 56 61 47 60


En lever de rideau de la saison 2011 Gilbert Garrouty s’était entretenu avec Marc Chisson





Samedi 23 Juillet,



Église de Villereal




Lundi 25 Juillet, abbaye de Cadouin -21h





Maîtrise lauréate des concours internationaux d’Arezzo en Italie et Tolosa en Espagne



Mercredi 27 Juillet, Château de Biron - 21h30



Depuis plus de 10 ans déjà, les tournées internationales du Ballet Royal permettent à celui-ci de rassembler une partie des fonds nécessaires à la formation et au maintien du corps de Ballet mais aussi des musiciens, chanteurs, chorégraphes et des costumières. Elles constituent par ailleurs une motivation supplémentaire à la restitution progressive des pièces de répertoire et à la renaissance du patrimoine, sous l'impulsion des artistes doyens et en concertation avec la Princesse Bhuppa Devi, ancienne danseuse étoile et ministre de la culture du Cambodge.




La nomination en 2003 du Ballet Royal au Patrimoine oral et immatériel de l'Humanité tel que défini par l'Unesco, a permis d'attirer l'attention sur l'importance et la beauté d'une formation séculaire qui comptait autrefois pas moins de quatre cents danseuses.



Photos d'Angkor Vat Collection Pierre Haneuse






Vendredi 29 Juillet, Abbaye de Saint-Avit-Sénieur - 21h


Les Arts Florissants

Paul Agnew, soliste et direction







Samedi 30 Juillet, Abbaye de Cadouin - 21h


Liu Fang
Virtuose de la musique traditionnelle et classique chinoise

Prodige du pipa - luth chinois - et de la cithare guzheng
« Une sensibilité à fleur de peau et un sens dramaturgique sans égal ... En l'observant, on devine l'amour qui l'unit à la musique, on ressent l'unissson qui résonne entre son être, l'instrument et surtout, on partage son profond plaisir. » Mondomix


Liu Fang






Celtic Legends


Celtic Legends
20 artistes, danseurs et musiciens…

…Pour 2 heures d’un spectacle coloré, rythmé, vibrant, lumineux, flamboyant, volcanique, au tempo impétueux des claquettes et de
la musique des ballades irlandaises.






Mercredi 3 Août, Abbaye de Cadouin - 21h



Choeur de solistes Mikrokosmos
Œuvres scandinaves, américaines, asiatiques et anglaises - Polyphonies russes - Créations françaises

Les 16 professionnels du Choeur de Solistes Mikrokosmos entrent en scène et la magie opère. Leurs déplacements, leur jeu scénique : une immersion au coeur de sonorités inouïes.
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Jeudi 4 Août, Grange de Lanquais

- 19h


Louise Chisson, violon, Tamara Atschba, piano:


- 21h

Carole Farley, mezzo, John Constable, piano:
Debussy, Ravel, Poulenc/Cocteau La Voix Humaine


Un récital original et rare de la mezzo américaine du Metropolitan Opera, acclamée dans le monde entier pour ses prestations dans les rôles titres de Lulu, Lady Macbeth et La Bohême, accompagnée par le pianiste principal du London Sinfonietta, claveciniste attitré de l'Académie de St Martin-in-the-Fields et professeur au Royal College of Music de Londres, mais aussi partenaire privilégié des plus grands solistes.









Vendredi 5 Août, place de Monpazier - 21h


UNE SOIRÉE A NE PAS MANQUER


Natalie Dessay /Michel Legrand et ses musiciens


En exclusivité dans le grand Sud-Ouest

Natalie Dessay
Michel Legrand et ses musiciens
Catherine Michel, harpe
Yentl, Les Demoiselles de Rochefort, Les parapluies de Cherbourg, Peau d'âne, L'Eté 42, Les moulins de mon coeur, la valse des Lilas…





Une diva et l’un des plus grands compositeurs de musiques de films…Une rencontre rare à ne pas manquer !











Samedi 6 Août, Château de Biron -21h

Katia et Marielle Labèque, piano
Ravel, Gershwin, Bernstein




Katia et Marielle Labèque, piano

Ravel Ma Mère l’Oye - Rhapsodie espagnole
Gershwin Trois Préludes
Bernstein West Side Story

« Générosité, finesse de présence artistique … Magnifiques, touchantes et impressionnantes : elles ne se regardent presque jamais mais jouent dans un même souffle, dans une même respiration - On se souviendra longtemps de leur ´Maria´, dans la suite d´après Bernstein: doucement timbré, tendrement mélancolique, complètement présent. » Renaud Machart - Le Monde






Dimanche 7 Août, Église de Monpazier - 21h

Jean-Bernard Pommier, piano et direction/Orchestre de Slovaquie

Louise Chisson, violon

Beethoven : Concerto n°2, Symphonie n°2


L’un des plus fameux orchestres d’Europe de l’Est, avec plus de 2400 concerts à travers l’Europe, ici dirigé par Jean-Bernard Pommier, un habitué des plus grandes halanges du monde dont la Philharmonie de Berlin, le Chicago Symphony Orchestra, le Concertgebouw, le National de France, la Staatskapelle de Dresde, le Gewandhaus de Leipzig…avec des chefs d’orchestre tels que Herbert von Karajan, Pierre Boulez, Riccardo Muti,Zubin Mehta ou Daniel Barenboim, sous la direction duquel il a interprété l’intégrale des concertos pour piano de Beethoven avec l’Orchestre de Paris.







Lundi 8 Août, Cloitre des Récollets, Bergerac - 21h


Dans un cadre exceptionnel
Dîner concert
Avec Les Pommes de ma Douche
« Emules de Django, disciples de Brassens… »

Brassens et Trénet revisités dans le style de Django Reinhardt et Stéphane Grappelli.


Ambiance festive garantie !






Mardi 9 Août, Château de Biron -21h





En exclusivité
Ballet National de Madrid Victor Ullate
El Arte de la Danza
L’Art de la Danse
Un spectacle rare, jeune, vivant, unique en France cet été.

Victor Ullate, ancien danseur étoile au Ballet du XXe siècle Maurice Béjart,
nous offre ici un magnifique panorama de ce qu’est la danse : ballet
classique, classe quotidienne, danse espagnole, comédie musicale : la danse lie toutes les cultures en un langage universel.







Mercredi 10 Août, Château Saint-Germain - 21h



« Voix lyriques en accordéon »

Vincent de Rooster, ténor Sandrine Eyglier, soprano
Michel Glasko, accordéon

Offenbach, Dvorak, Bernstein, Weill, Tchaikovsky, Rossini, Gershwin, Strauss
Deux chanteurs lyriques croisent un accordéoniste et explorent ensemble les possibilités de cette délicieuse rencontre…
Opéra, opérette, mélodie, lieder, canciones, chansons ...
En français, en italien, en anglais, en allemand, en russe, en espagnol ...
Sonorités inattendues, couleurs surprenantes, émotions garanties !











Jeudi 11 Août, Grange de Lanquais - 21h

Trio Wanderer




Samedi 13 Août, Château de Biron - 21h



Didier Lockwood Sylvain Luc

NOMAD’S LAND PROJECT

Un voyage autour du monde et des standards, par des musiciens, individuellement immenses solistes, eux-mêmes grands voyageurs et rompus à cette expérience du mélange des sons et des univers.







Dimanche 14 Août, Abbaye de Saint-Avit-Sénieur - 21h

Chœur et Orchestre Jan Talich de Prague
Respighi, Mozart, Beethoven, Vivaldi (Magnificat)

Orchestre Jan Talich de Prague
Chœur Pavel Kühn de Prague




Jan Talich direction



Respighi Antiche danze et arie
Janacek Suite
Mozart Ave verum corpus
Donizetti Ave verum
Beethoven Elegischer gesang
Vivaldi Magnificat

« Le chœur Pavel Kühn : le plus grand représentant de la tradition chorale tchèque moderne. L’Orchestre Jan Talich : certainement l’un des meilleurs orchestres européens. Un ensemble merveilleux »
Sir Charles Mackerras

« …des musiciens d’une qualité exceptionnelle.» Shlomo Mintz

« Beauté du son, perfection technique : je considère le Talich Orchestra comme l’un des meilleurs orchestres internationaux.» Josef Suk






mercredi 12 mai 2010

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lundi 10 mai 2010

Soir Matin: L'actualité du cinéma Grolandais change d'adresse !

Soir Matin change son adresse, mais pas son contenu...

Pour suivre toute l'actualité du cinéma Grolandais à présent c'est ici : http://cinegroland.blogspot.com/